Marie-Madeleine,
une initiée maitre de l'énergie de la Déesse
Les prêtres patriarcaux juifs et leurs femmes s'opposaient de plus en plus ouvertement à l'adoration de la Mère divine, la Shékinah sacrée. En jouant le rôle d'intermédiaires entre le chercheur et Dieu, les prêtres cherchaient à régir la capacité inhérente des individus d'avoir une connaissance directe de Dieu à l'intérieur d'eux-mêmes. Ils se méfiaient, et souvent, abhorraient les manières d'entrer en relation directe avec la Shékinah. Ils méprisaient Isis, Inanna et les autres représentations de la Grande Mère, à défaut de pouvoir se servir de la Déesse à leurs propres fins. Les femmes qui étaient solidement ancrées dans les vieilles traditions matriarcales étaient perçues comme une menace parce qu'elles ne pouvaient être dominées facilement et qu'elles détenaient des pouvoirs que la prêtrise convoitait pour elle-même. Par conséquent, bien des hommes en position d'autorité religieuse regardaient ces femmes de haut et les considéraient comme des tentatrices responsables de la chute du genre humain et de la corruption de la chair. La plupart des maris traitaient leurs femmes et leurs filles comme des possessions ignorantes et de virtuelles esclaves au service de leurs plaisirs physiques et de leur besoin d'héritiers. On appliquait souvent aux femmes qui étaient connues pour leur adoration de la Déesse les étiquettes de prostituées et de femmes aux mœurs légères.
Anna, grand-mère de Jésus ; Claire Heartsong
Les femmes étaient porteuses d'une énergie créative et intuitive très forte qui ne devait pas servir au simple plaisir sexuel. En réalité, Marie-Madeleine était maitre de l'énergie créative de la kundalini et fut capable de démontrer la fonction essentielle de cette énergie à certains hommes. Cependant, les enseignements et pratiques qu'elle dirigeait furent mal compris et elle fut traitée de prostituée .
Révélations d'Arcturus ; Ramathis-Mam
Marie me reconnut comme initiée [au culte d'Isis], du fait que je portais à mon bras le bracelet d'or en forme de serpent... Il est ironique que j'aie ensuite rencontré les yeux de ceux qui furent des disciples [de Jésus], qui me jugèrent et décidèrent que j'étais une prostituée. Cette opinion s'est perpétuée au fil de générations de croyants.
Le manuscrit de Marie-Madeleine, T. Kenyon et J. Sion
Alain Boudet - Source http://www.spirit-science.fr/doc_psycho/sexualite.html
+ d'infos : Sexothérapie
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